es fois tu te dis : bon, qu'ai-je à raconter d'intéressant aujourd'hui ? (celui au fond près du poêle qu'a dit "rien" va prendre un soufflet) Et du fond de tes tiroirs tu récoltes quelques embryons de réflexion qui à eux tout seuls ne pourraient pas faire l'objet d'un article, mais qui, enfilés bout à bout pourraient bien faire un collier de nouilles acceptable (aurais-tu imaginé qu'il existât une page wikipédia sur le collier de nouilles ??? incrédibeule !).
Donc voilà mon collier de nouilles :
* Est-ce que les dentistes font partie des métiers de bouche ?
* Le problème de la littérature du dimanche, c'est qu'il y a davantage de gens qui ont envie d'écrire que de gens qui ont envie de lire.
* Un petit sondage : tu sais ce que ça veut dire, toi, valétudinaire ? (ne triche pas ! réponds avant d'aller voir !)
* Hier, dimanche de Pâques, doublement jour du seigneur saignant, mes deux filles travaillaient... Heureusement que je suis une mécréante !
Bon... j'arrive pas à faire marcher mon lien de musique... c'était "Lullaby for Nathan" de Mukta
RépondreSupprimerQu'il existât. J'aurais imaginé qu'il existât. Oui madâââme. merdalor. hin hin
RépondreSupprimerLe problème de la littérature du dimanche c'est qu'on vit dans une société de marques et que sans estampillage éditorial faut sacrément ramer pour expliquer aux lecteurs qu'ils sont libres de choisir, loin des prix littéraires et que peu d'écrivains du dimanche militent pour cette cause, ils veulent juste écrire en s'imaginant que les bouquins, leurs textes vont se vendre oû être lu tout seul, sans doute parce que c'est eux... Je sais pas.
RépondreSupprimeret y'a peu d'écrivains du dimanche qui seraient près à lire d'autres écrivaisn du dimanche, eux aussi ils font leurs courses le plsu souvent dans les estampillés par l'édition...
RépondreSupprimerEt, et, et les écrivains du dimanche sont souvent les premiers et les plus nombreux à penser qu'il est normal qu'un artiste ne gagne pas sa vie, pourquoi, alors faudrait-il que lui gagne des lecteurs ? Bref ce que je me demande c'est quel écrivain du dimanche mérite vraiment d'être lu, parce qu'il a les tripes et les actes accordés à l'esprit de l'écrivain du dimanche ? Suffit pas d'écrire pour l'être, il me semble...
RépondreSupprimerDom A. >> ah joli ! bien sûr je fais la modif de suite !
RépondreSupprimerSandrine >> j'étais sure que ce sujet t'intéresserait ! "quel écrivain du dimanche mérite vraiment d'être lu" ? bonne question ! à part toi et moi, je ne vois pas qui d'autre ;-)
Et l'écrivain qui s'en dit "manche"? Peut-on s'appeller soi-même écrivain, ou cela vient-il de l'autre, un genre de bénédiction extérieure, un "urbi et orbi" prononcé avec componction par un lecteur forcément averti? Etre un "écrivant", c'est bien aussi, mais c'est moche à dire. Ou alors un voyageur des mots, un parsemeur d'idées, un diffuseur d'envies. Bof, tout ça. Ecrire, c'est d'abord expérimenter le bonheur autour de soi, et espérer que parfois, ça puisse faire une petite tâche d'huile qui grandit un peu, pas trop quand même. Juste ce qu'il faut.
RépondreSupprimerOui, M'dame, oui, M'dame, je sais ce que signifie valétudinaire!!!
RépondreSupprimerEt aussi les dix commandements!
Je me sens très intelligente, aujourd'hui.
Pourvu que ça dure.
Moi aussi, je sais. J'ai fait latin au collège et au lycée. Ça aide.
RépondreSupprimerValé tue qui?...Dinaire??? C'est qui Dinaire? Oui, je sais, c'est facile, mais je n'ai rien à dire sur les écrivains du dimanche.
RépondreSupprimerCeleen >> artisan du verbe
RépondreSupprimerAriana >> bravo ! tu auras un bon point :-)
Berthoise >> oui mais toi t'es maikresse, alors forcément t'es la plus forte
MarieNeige >> sur les photographes du dimanche peut-être ? ;-)
Les écrivains du vendredi ça existe ?
RépondreSupprimer- Rien
RépondreSupprimerBleck
Je n'en connaissais pas la définition et te remercie pour la minute encyclopédique.
RépondreSupprimerBleck
Zoé >> ce sont des écrivains du dimanche musulmans peut-être ?
RépondreSupprimerBleck >> monsieur est nostalgique de la minute encyclopédique ?